Après la signature du protocole d’accord tripartite : maximum 20 mille fonctionnaires seront recruter à la fonction publique
Le ministre du travail et de la Fonction Publique a apporté des précisions ce mercredi 15 novembre, sur le concours de recrutement à la fonction publique, dont les dépôts des dossiers sont en cours. Invité dans l’émission, “le gouvernement vous écoute” sur la RTG, Julien Yombouno a d’abord réaffirmé la volonté qui anime le gouvernement de la transition à organiser ces concours d’intégration à la fonction publique, avant de préciser que le nombre sera déterminé en fonction des besoins impérieux.
« L’homme propose Dieu dispose, mais dans notre volonté simple qui s’inscrit dans la vison du Chef de l’Etat, tout le gouvernement, nous allons organisé ce concours là, parce que c’est le social, nous ne pouvons pas venir passé tout ce temps là, et ne rien offrir à la jeunesse, certes tout le monde ne sera pas recruté, ce n’est même pas possible, mais nous allons recruter intelligemment. Et c’est ce qui nous retardais jusqu’à maintenant, pour fixer le nombre final, faire une ventilation, tel département voici le nombre de places disponibles, c’était qu’il fallait attendre d’abord l’issue des négociations parce que ça conditionne le nombre à occupé selon l’impact financier des engagements que nous avons pris ce matin », rassure Julien Yombouno, avant de préciser que la signature d’un protocole d’accord avec le mouvement syndical autour de leur plate-forme revendicative, va forcément impacter sur le plan foncier, sur le nombre de fonctionnaires à recruter.
« Les engagements que nous avons pris ce matin avec le mouvement syndical nous amènent à revoir nos ambitions. Mais l’un dans notre, nous nous sommes dit que 16 mille serait raisonnable. Nous avons écrit au ministère du budget, mais le ministre du budget aussi a ses contraintes, ses senaries et ses simulations, donc sur la base de ce qui est possible, ils nous ont répondu pour dire que maximum 20 mille…
L’année-là, seuls les besoins prioritaires seront pris en charge », précise le ministre du travail et de la fonction publique.
Alseny Dine CAMARA